... qui t'a bien baisé, laminé, écrabouillé, a anéanti ta vie privée et professionnelle et laissé nu sur le pavé !
On a relaté dans l'article précédent les difficultés de nos amis égarés dans les Landes :
Non seulement les autorités (maire en tête) laissent faire - nos amis victimes de cette mégère sont harcelés, trainés dans la boue depuis des mois, par cette tarée qui menace de tuer Mathilde sans risque car elle se vante d'être "folle et irresponsable" - mais encore ils risquent que cette situation se retourne un jour contre eux d'une façon imprévue et s'aggrave.
Voici le témoignage d'une copine qui a été victime de dysfonctionnement judiciaire grave . Et comment elle a su en tirer avantage . On trouve savoureux qu'une dépressive cataloguée invalide légèrement frappadingue ait abattu plus de boulot social qu'une assistante dite sociale (celles que nous avons rencontrées étaient souvent des bourriques acariâtres et incompétentes, juste bonnes à vous cataloguer x ou y sur un fichier, et "va crever-te suicider on t'a vu et assez vu") !
J'ai été prise dans un engrenage infernal suite à une erreur judiciaire. De victime, je suis devenue coupable, mon adversaire étant bien plus puissant que moi et ayant le bras long.
Comprenant que j'allais perdre mon emploi et que j'allais droit vers une dépression nerveuse, j'ai vite réalisé un projet immobilier ambiteux ... et demandé un prêt à une banque monégasque moins pointilleuse que les françaises, mais au taux très élevé. Prêt accepté car j'avais encore mon emploi.
Je prenais le risque car je savais qu'en cas de maladie les assurances paieraient les traites ! et c'est ce qui m'est arrivé. Mieux : au bout de 3 ans, l'assurance a décidé de régler la totalité du prêt et je me suis donc retrouvée 100% propriétaire de 15 appartements locatifs !
J'ai certes triché "par anticipation" au niveau de la banque, et volontairement fraudé l'Etat en demandant une pension d'invalidité qui n'était pas vraiment justifiée, mais l'Etat avait le juste retour de bâton de son laxisme. Et puis, qu'il raque pour une chômeuse qu'il a dépossédée de son job ou pour une malade, quelle différence ?
Pour ne pas me sentir malhonnête, j'ai fait du social avec ces 15 appartements, et de l'humanitaire avec les bénéfices réalisés. Conservant juste la somme équivalent à mon salaire d'autrefois.
J'ai bonne conscience, et ne peux que vous encourager à m'imiter en cas de gros gros gros pépin !